A Fair Maiden (Joyce Carol Oates)

Sixteen year-old Katya Spivak is out for a walk on the gracious streets of Bayhead Harbor with her two summer babysitting charges when she's approached by silver-haired, elegant Marcus Kidder. At first, his interest in her seems harmless, even pleasant; like his name, a sort of gentle joke. His beautiful home, the children's books that he's written, his classical music, the marvelous art in his study, his lavish presents to her: Mr. Kidder's life couldn't be more different from Katya's drab working-class existence back home in South Jersey, or more enticing. But by degrees, almost imperceptibly, something changes, and posing for Mr. Kidder's new painting isn't the light-hearted endeavor it once was. What does he really want from her? And how far will he go to get it?

In the tradition of Oates’s classic story "Where Are You Going, Where Have You Been?" A Fair Maiden is an unsettling, ambiguous tale of desire and control.

J’ai failli plusieurs fois abandonner ce livre qui ne comporte que 167 pages. Et c’est bien parce qu’il est court que je l’ai terminé. Heureusement, car la fin (mais vraiment les dernières pages) m’a plu. Donc, je ne regrette pas d’avoir persévéré. L’histoire est plutôt macabre et malsaine, et, même s'ils sont parfois émouvants, les personnages ne sont pas particulièrement attachants. Mais c’est peut-être parce que le livre est court. Un Joyce Carol Oates assez moyen selon moi.

Comments

[Jackie Brown]

Valérie : j'ai laissé un peu reposer les JCO pour le moment, mais j'en ai d'autres dans ma liste. Je vais peut-être tenter My sister, my love.

[Valérie]

Mon préféré reste My sister, my love qui , lui est un pavé.

Nos avis différent sur ce roman mais c'est ce qui fait le sel de la blogo.

[Jackie Brown]

Je crois que je tenterai d'en lire encore un ou deux pour "finir" de me faire une opinion.

[In Cold Blog]

Décidément, il y a vraiment de tout dans la production Oates. Autant de chances de faire bonne pioche que mauvaise pioche. Malgré tout, je trouve qu'il y a toujours quelque chose à sauver de ses romans les moins bons.