The Absent One (Jussi Adler-Olsen)
A un moment particulièrement atroce, je me suis dit que les romans de Jussi Adler-Olsen, c'était fini. Les stéréotypes, les caricatures, ça va deux minutes. La bande de jeunes riches, élèves dans un internat huppé, un élève boursier, une fille sans estime de soi qui passe de l'un à l'autre, à l'autre et à l'autre. Tout ce monde commet des actes sadiques, est fan d'Orange mécanique (le film, bien sûr). Un peu convenu, non ? Et cette évocation des Chasses du comte Zaroff (encore un film que je n'ai pas vu, mais auquel j'ai pensé à la lecture). Avec des personnages comme ça et une histoire somme toute pas très originale, je n'étais pas trop convaincue. Mais arrivée à la fin, je me suis dit que j'aimerais quand même connaître l'histoire d'Assad. Et Jussi Adler-Olsen nous laisse entrevoir qu'il nous la racontera un jour. Alors je continuerai. Mais je ne vais pas me presser pour lire la suite.